L'Incendie de la chocolaterie ou écrire un conte de Pâques

Comme presque chaque année, je dois écrire un conte de Pâques pour le journal L’Echo du Gros-de-Vaud d’Echallens.

J’ai déjà imaginé :

• Les aventures d’un lapin de Pâques face à l’adversité (actuellement en train de devenir un album jeunesse dont j’aurai l’occasion de vous reparler, mais chut !)
• Les doutes d’un jeune prêtre au XVIIe siècle dans La Décision "La décision", conte de Pâques - Bénédicte Gandois
• Le cauchemar d’un jeune garçon Le printemps de Noé, récit de printemps - Bénédicte Gandois
• Le retour du printemps grâce à un oiseau magique dans La Légende de l’oiseau du printemps Vient de paraître: La légende de l'Oiseau du printemps - Bénédicte Gandois
• Les aventures d’un garçon dans la troupe de théâtre de Molière dans Colin à Lyon

Alors, que faire, cette année ?

Gourmande, j’avais envie de parler de chocolat.

Je me suis donc renseignée sur les chocolateries. C’est ainsi que j’ai découvert avec passion les premières entreprises chocolatières au XIXe siècle et les aventures des premiers entrepreneurs. Cependant, il fallait que mon récit tienne en 4 000 signes, ce qui est toujours la quadrature du cercle !

J’ai découvert cet article passionnant de la Bibliothèque nationale de France : Le développement de l'industrie chocolatière en France | Blog | Gallica et suis tombée sur une coupure de presse (moi qui adore les « dépouillements », comme on dit de la presse ancienne !) : Le Radical | 1891-02-03 | Gallica évoquant l’incendie d’une chocolaterie.

Comme j’aime beaucoup les œufs alsaciens et allemands décorée, il n’en fallait pas plus pour imaginer ce conte, L’Incendie de la chocolaterie que vous pouvez découvrir ci-dessous, paru dans le mensuel Clin d’œil.